Mercredi 5 Août
Aujourd’hui on avait promis aux enfants une journée « off »,
sans rendez-vous.
Le matin, je me réveille très mal. Mal à la tête, au cou… Il
faut dire que dormir avec Gabrielle, même dans un lit king size, n’est pas
reposant. Malgré la largeur gigantesque du lit (1m80), elle réussit à venir
jusqu’à moi pour donner des coups de pieds, piquer la couette. En plus cette
nuit là j’avais oublié de couper la clim, j’ai donc eu froid et la soufflerie
de la clim qui se met en route à 1h du matin ne m’a pas aidée.
Bref, je suis rentrée du petit déjeuner en ayant envie de me
coucher. Quand François part au boulot, il me confirme que je suis un peu
fièvreuse. Je demande donc aux enfants de s’occuper calmement pendant que je me
repose au lit.
Malheur, j’avais oublié qu’au lieu d’avoir des enfants de
9/7/5 ans, j’avais 2 bébés de 24 mois, qui ne trouvent pas mieux que de courir
au pied de mon lit, en criant, et en laissant tous leurs jouets n’importe où.
A 11h j’abdique et je pique une gueulante. Ils ont 10
minutes pour ranger le salon, retrouver les jouets déjà perdus, ou sinon je me
libère de mon devoir de mère : puisqu’ils sont si malins pour ne pas
écouter les consignes, ils le sont alors probablement pour se faire à manger,
organiser leur vie et assurer leur sécurité. Ca les calme un peu… ils ont été
presque calmes pendant le déjeuner et après.
Mais François a pu rentrer assez tôt. Je lui ai donc laissé
Pierre qui a toujours la respiration difficile, et j’ai sorti les deux grands pour qu'ils prennent l'air et marchent un peu.
Direction les boutiques près de l’hôtel. J’avais repéré un magasin de maison : meubles, électroménager, décoration. Oh là là comme diraient les français ! Quel spectacle !
Direction les boutiques près de l’hôtel. J’avais repéré un magasin de maison : meubles, électroménager, décoration. Oh là là comme diraient les français ! Quel spectacle !
Il y a le coin ambiance montagnarde. Je sais que la montagne
n’est pas si loin, mais quand dehors on a les palmiers et 40°C, c’est difficile
de se mettre dans l’ambiance chalet ! On avait même deux ours empaillés du
meilleur goût. Ou ce nounours en portrait… taille XXL
J’ai voulu voir les chambres d’enfants. J’imagine bien l’ambiance
Indiana Jones pour Pierre. Ou le chat. Après tout, à quoi peut servir un pont
de singe dans une chambre, sauf pour balader le chat ???
Après au milieu il y avait les salons et salles à manger. Je
me suis contenté de contourner. Juste pour pas avoir trop peur (car les prix
son exorbitants en plus !). Mais j’ai tout de même vu le coin des
horloges, et c’est une dédicace toute spéciale à mon père qui n’a jamais aimé l’horloge
chez ma grand-mère. Regarde papa, tu vois, ça pourrait être pire !
Ah et papa aussi, j’ai trouvé une fontaine pour ta future maison de campagne. Dommage qu’ils ne livrent pas si loin…
Ah et papa aussi, j’ai trouvé une fontaine pour ta future maison de campagne. Dommage qu’ils ne livrent pas si loin…
Bon à part ça, j’ai regardé les frigos. Perso je n’ai jamais
rêvé des frigos américains… et eux, semblerait-il, sont passés à la mode des « french
doors ». Dans les deux cas, la porte semble faire 20 cm d’épaisseur. Et je
n’aime pas trop. Beaucoup de place perdue me semble t-il. Et le distributeur de
glaçons, alors que je n’aime pas trop le goût de l’eau du robinet ici, à quoi
bon ? J’ai plusieurs longues semaines pour étudier ces questions de la
plus haute importance (vus les prix... le plus bas prix était 999$, et ça montait à plusieurs milliers). Bizarrement, choisir une maison semble plus simple. Ah
et je ne vous parle pas du combo lave-linge/sèche-linge. Tellement de marques,
de prix…
En ressortant du magasin, on a croisé un petit camion qui
était là, sans qu’on comprenne vraiment pourquoi…
En rentrant on passe devant une autre boutique qui a ramené
son petit animal de compagnie. Pas envie de rentrer dans la boutique, c’est un
peu trop chasse & pêche à mon goût.
Les enfants me forcent ensuite à aller à la piscine, sans François donc je dois vraiment les surveiller (je ne suis pas à l’aise pour nager, donc je n’aime pas faire ça). En plus, mon spa est fermé : le monsieur fait le changement d’eau avec tests de l’eau. Il réouvre quand on part, zut.
Les enfants me forcent ensuite à aller à la piscine, sans François donc je dois vraiment les surveiller (je ne suis pas à l’aise pour nager, donc je n’aime pas faire ça). En plus, mon spa est fermé : le monsieur fait le changement d’eau avec tests de l’eau. Il réouvre quand on part, zut.
En fin d’après midi (17h), on demande aux enfants d’aller
chez Carmax pour voir les voitures. Ils râlent comme des putois qui ont faim.
Là-bas, ils sont bien amusés par la voiture de golf que le vendeur utilise pour
nous amener près des minivans. On en a trouvé un bien… mais bon, on hésite
beaucoup sur l’assortiment entre les 2 voitures à avoir. Et plus on réfléchit,
plus il nous faut deux voitures pouvant chacune trimballer la famille. Et quand
on a 3 enfants, une voiture normale c’est juste en taille. François travaille à
10 min d’ici, mais ira parfois à Sunnyvale ( à 2h d’ici, via l’autoroute). Il
pensait prendre une petite voiture, et quand il va loin, prendre le minivan.
Mais les 3 enfants dans la petite voiture… nan. Alors ces jours-là à pieds ?
Et j’imagine quand mes parents viendront, ou mes amies
Ophélie et Mathilde avec maris et enfants… Il nous faut grand. Donc deux
grands. Mais ça fait forcément monter les prix.
Bon, retour à la « maison » et c’est l’heure du
repas. Ce soir nous avons droit à des hotdogs. Là, désolée je n’ai pas de
photos… mais promis, j’en ferai car chaque mercredi, c’est soirée hotdogs à l’hôtel.
Le goût de la saucisse faussement fumée est terrible. Et nous remarquons
cruellement notre manque total de savoir-faire en sandwich canin. Il semblerait
que ce soit un art. Quand nous nous contentons de mettre du Ketchup dans le
fond de notre pain, avec un peu de moutarde au dessus, nous voyons passer les
assiettes des bons américains, casquette sur la tête et bière à la main. Sur
leur hot dog, il y a une bouillie qui ressemble à de la sauce bolognaise, des
oignons rouges coupés en petits cubes, des tomates en cubes, parfois de la
salade… du cheddar râpé aussi ! Clairement, nous sommes largués et
minables. En plus ils ont mis à la télé les infos sportives… encore plus
largués. Honnêtement, ça ne me froisse pas tant que ça. Mais ça m’amuse
volontiers cette histoire de « deflagate ». Pour moi, Tom Brady était
le mari presque parfait de Gisèle Bundchen. Quel drame…
Ce soir, je me couche à 19h30. Et je m’endors bien vite.
****
Jeudi 6 Août.
Réveil par le réveil à 7h. Aujourd’hui il faut se presser, rendez-vous à la sécurité sociale pour créer nos numéros de sécu. On doit y être à 8h45, donc nous souhaitons partir à 8h15. La dame qui s’occupe de nous, Remona est déjà là et fait la queue. La queue est déjà longue, mais elle est deuxième. Elle s’étonne que nous soyons là à 8h20. Oui oui, les Clous n’aiment pas être en retard, et on avait surestimé le temps de parcours. Elle nous conseille d’aller au coffee shop pour passer le temps, la sécu n’ouvre qu’à 9h. On marche alors où on peut (les piétons n’existent pas, donc les trottoirs… pas vraiment non plus). On croise un mac do, et on s’y arrête en abandonnant l’idée du Starbucks droit devant, car on ne savait pas trop où on pourrait bien traverser. Au mac do, les garçons obtiennent des cookies, Gabrielle un « softdrink », et nous tentons le « iced coffee », goût « french vanilla ». Comment dire... aussi dégueu qu’à l’hôtel. Leur café est brûlé et a une fort amertume. Ah ça, je ne grossirai pas ici à cause de leurs boissons ! L’eau en bouteille est la seule chose que je réussis à boire, avec le light Coke. Il faut vraiment que je me mette au thé quand je serai dans mon chez-moi. Si un jour je vous dis que le café américain est bon, sachez que j’aurai alors perdu toute ma dignité européenne.
Réveil par le réveil à 7h. Aujourd’hui il faut se presser, rendez-vous à la sécurité sociale pour créer nos numéros de sécu. On doit y être à 8h45, donc nous souhaitons partir à 8h15. La dame qui s’occupe de nous, Remona est déjà là et fait la queue. La queue est déjà longue, mais elle est deuxième. Elle s’étonne que nous soyons là à 8h20. Oui oui, les Clous n’aiment pas être en retard, et on avait surestimé le temps de parcours. Elle nous conseille d’aller au coffee shop pour passer le temps, la sécu n’ouvre qu’à 9h. On marche alors où on peut (les piétons n’existent pas, donc les trottoirs… pas vraiment non plus). On croise un mac do, et on s’y arrête en abandonnant l’idée du Starbucks droit devant, car on ne savait pas trop où on pourrait bien traverser. Au mac do, les garçons obtiennent des cookies, Gabrielle un « softdrink », et nous tentons le « iced coffee », goût « french vanilla ». Comment dire... aussi dégueu qu’à l’hôtel. Leur café est brûlé et a une fort amertume. Ah ça, je ne grossirai pas ici à cause de leurs boissons ! L’eau en bouteille est la seule chose que je réussis à boire, avec le light Coke. Il faut vraiment que je me mette au thé quand je serai dans mon chez-moi. Si un jour je vous dis que le café américain est bon, sachez que j’aurai alors perdu toute ma dignité européenne.
On retourne auprès de Remona. Un agent sort de la sécu et
dit que les portes ouvriront bientôt : « si vous êtes munis de
pistolets, de couteaux, ou de couteaux de poches, je vous conseille d’aller les
ranger dans votre voiture. La nourriture est interdite, de même que les
téléphones doivent être sur le mode silencieux ». Tiens, j’avais oublié
les flingues dans ce pays…
Remona nous avait recommandé la plus grande patience, elle
était anxieuse. En fait, nous n’avons pas eu besoin d’être patients du tout :
on a été appelé très rapidement, ensuite le monsieur a fait son travail avec
nos papiers… Il nous a simplement dit à la fin que nos prénoms étaient trop
longs et ne rentraient pas dans les cases. En France, on donne un, deux et
trois prénoms. Aux USA c’est un first name et un middle name seulement. Donc,
problème pour lui. Il a dû faire une demande spéciale, et en principe ca va
prendre une semaine. Donc il nous donne un papier et nous rentrons.
Je demande à passer par l’école pour leur dire mon intention
d’inscrire les enfants, mais que j’attend d’avoir la réponse pour la maison. Le
monsieur du district la veille avait donc bien appelé la directrice, comme il
avait dit qu’il ferait, pour prévenir de notre arrivée car lorsque j’ai
commencé à parler, elle a tout de suite dit « you saw Jordan on Tuesday,
right ? ». Elle voulait que je fasse l’inscription tout de suite pour
garder la place pour les enfants. Elle a semblé très contente de nous avoir
dans l’école en disant déjà que ce serait super si je pouvais aider dans les
cours de Français qu’ils donnent après l’école. Elle est parfaitement d’accord
pour mettre Gabrielle en 5th grade. Pour Raphaël elle avait une hésitation
surtout par rapport au manque de place : elle ne doit pas dépasser 24
élèves par classe, et ses 2nd grade sont déjà plus nombreux que ça.
Mais elle a semblé trouvé son compte en espérant que cet élève supplémentaire
lui permettrait d’ouvrir une classe. Je suis donc rentrée à l’hôtel prendre les
papiers rapidement, François est alors parti au bureau, en me laissant avec les
enfants. L’école n’est pas si loin à pied de l’hôtel, 20 min avec le petit
monsieur qui traîne des pieds. Ils ont été contents de voir l’école, et s’imagine
déjà avec les aires de récréation, les tables de pique-nique, les toboggans…
Cette école n’est pas fermée par des barrières. Chaque petit bâtiment a une ou
plusieurs classes. Les portes donnent sur les trottoirs, qui sont éloignés de
la route bien entendu. Mais il n’y a pas de gros bâtiment fermé, ou les élèves
auraient des couloirs. On peut dire qu’ils profiteront de l’air ! Quand il
pleut, j’imagine que c’est moins drôle. Il y a un grand parking à vélo, une
bibliothèque. Et il semblerait donc qu’il y a un cours de legos après la
classe.
On rentre vers l’hôtel avec comme promis pour cette marche
intense ( hum hum, tu parles…), un yaourt glacé. La directrice en avait parlé.
On a dû bien chercher car l’endroit était pas évident. C’est Gabrielle qui a
trouvé le mot Yogurt sur une devanture. Dedans, j’ai encore l’air d’une ahurie…
la vendeuse n’arrive pas tout de suite et je suis obligée de lui avouer que je
ne suis jamais venue et que je ne sais pas ce qu’il faut faire.
Principe simple : on prend son contenant, et on se
sert. A la fin, on paie au poids. Ouf, car les contenants sont immenses, j’imaginais
pas manger tout ça moi-même, alors un enfant…
Ils ont bien entendu choisi des mélanges de goûts
improbables, avec des « toppings » pas du tout assortis. Tout va
bien, 10.75$ pour 4 glaces… on se croirait en France, prix correct. Moi j’ai eu
du goût, j’ai pris glace citron avec de la noix de coco en topping. Pierre a
pris Citron et goût « euro tart ». Raphaël vanille chocolat.
Gabrielle, c’est la pire « Oreo cookie » et ananas. Ils étaient
contents. Retour à l’hôtel. Et là, je sais qu’on est mal. Glace à 11h30,
déjeuner fichu. Comment les nourrir ? Et bien on fait pas. Et avec le
diner de l’hôtel qui est servi entre 17h30 et 19h30, presque aucun gâteau ni dessert
dans mes placards… et plus d’eau non plus. Je n’arrive pas à gérer mes courses
avec des enfants qui veulent toujours qu’on sorte du magasin, des produits
nouveaux dont je dois me méfier… Aïe. Donc déjeuner zappé (il restait les pâtes
du cheesecake factory pourtant). Goûter, je le zappe aussi pour qu’ils mangent
au « diner » à 18h. Raphaël m’en fait une grosse comédie. François
rentre à 17h et nous allons au supermarché. Là, en cherchant, je trouve des
yaourts pour qu’ils arrêtent de se plaindre des desserts. Des biscuits pour
faire les goûters (dont j’avancerai l’heure). Oreo cookies, si ce n’est pas bon
pour la santé, au moins c’est mythique. Du bacon pour aller avec les œufs bio
que nous avions acheté (bacon pas bio, il n’y en avait pas). Du lait bio mais
avec une vache dessinée dessus et que Raphaël a choisi, pour qu’il arrête de
dire que « ça a un drôle de goût ».
Ah je ne vous ai pas dit. Raphaël, qui aimerait bien devenir
Ratatouille (Chef cuisinier) plus tard, a hérité du palais, du goût et de l’odorat
de son grand père. Il a le palais fin, et pour qu’un produit ait le goût qui
lui convient, il faut lui travailler l’esprit. Une vache rigolote sur le
paquet, ça peut le faire.
On rentre à la « maison » et c’est l’heure du
dîner ! Au menu ce soir, nachos. Bien entendu « c’est bizarre »
pour Raphaël, mais il y a des chips, alors il finit pas accepter de manger. Je
refuse de leur servir à boire : aucune eau n’est servie à l’hôtel,
seulement des sodas. Et en plus en ce moment, ils ont tous un goût de piscine !
Depuis que le gars a nettoyé le spa, toute l’eau de l’hôtel a le goût et l’odeur
de la piscine. Beurk. Même le light coke est imbuvable. Oui, j’ai aussi hérité
du goût et de l’odorat trop développé. Mais là, même un palais moins fin le
sent ! Sauf les gens qui continuent à boire, visiblement. Ce soir, c’est
un soir sans news sportives à la télé. Il y a un débat politique sur foxnews,
et tout le monde est devant, très sérieux. Avec François on a pourtant bien
envie de rire à chaque fois qu’on voit Donald Trump. Mais un regard furtif
autour de nous, et je me souviens de ce qu’on nous a dit « à Sacramento,
ils sont plutôt républicains ». En effet, casquettes vissées sur la tête,
ils se marrent et applaudissent le républicain qui dit que l’ère Obama est un
fiasco. On voit même Jeb Bush tient, il a moins la tête des 2 autres. Tiens, vous pouvez en lire un peu plus sur ce débat ici.
Les nachos donc, idem, on a pas vraiment le mode d’emploi. Les enfants finissent par manger, mais bien plus de chips au final. La gentille dame passe avec ses cookies, ils en ont un chacun. Pour une fois, un dessert !! il n’empêche qu’en remontant dans la chambre, ils se jettent sur les yaourts fraîchement arrivés du supermarché.
Les nachos donc, idem, on a pas vraiment le mode d’emploi. Les enfants finissent par manger, mais bien plus de chips au final. La gentille dame passe avec ses cookies, ils en ont un chacun. Pour une fois, un dessert !! il n’empêche qu’en remontant dans la chambre, ils se jettent sur les yaourts fraîchement arrivés du supermarché.
Tiens, les yaourts… le matin, à l’hôtel, ils servent des
Yoplait. J’ai regardé l’étiquette dès le premier jour en constatant qu’il y
avait de la gélatine casher dedans. De la gélatine… pouah. D’ailleurs, ça
laisse un goût en bouche (ou est-ce mon esprit… ?). Donc au supermarché,
on a regardé les étiquettes, et Danone (pardon, Dannon) semble ne pas en avoir.
C’est donc eux qui ont été élus !
Bon, juste après les yaourts, on a cherché le chaton pendant
30 min. Cette petite cervelle a cru bon de se cacher sous le canapé (elle adore
jouer à chat). Sauf qu’elle y est restée coincée. Mais pour la trouver… On a
fini par l’entendre. C’est bizarre un coussin qui miaule. A part ça, ses
journées consistent à être cruelle, comme tous les chats, envers tout ce qui l’entoure.
Les jouets se font sauvagement dévorer, le chien se fait mordre les oreilles,
les ballons se font attraper, et nos pieds le soir, sous la couette quand on
bouge, également. L’instinct de chasseur…
Bref, je mets Gabrielle au lit et je blogue. Chaque post me
prend plusieurs heures, ce qui met beaucoup de mails en attente. Désolée de ne
pas répondre rapidement...
PS: cette nuit, le chat m'a réveillée en plongeant dans les toilettes. Puis en jouant avec le ballon happy birthday. Puis en piquant ma place dans le lit. Et Gabrielle avait été calme pour une fois... pffff.
PS: cette nuit, le chat m'a réveillée en plongeant dans les toilettes. Puis en jouant avec le ballon happy birthday. Puis en piquant ma place dans le lit. Et Gabrielle avait été calme pour une fois... pffff.
Pourquoi Gabrielle dort elle avec toi ?
RépondreSupprimerCar pour le moment nous avons deux chambres d'hôtel. Comme nous ne pouvons mettre les enfants seuls dans une chambre, et les adultes seuls dans une autre, il a bien fallu mettre 1 adulte et 1 ou 2 enfants par chambre. Les garçons d'un côté, les filles de l'autre. François est plus malin, il a mis les garçons sur le canapé lit.
SupprimerExcuse moi je suis curieuse! En tous cas je ne me lasse pas de lire vos aventures! J'ai hâte que tu nous relates les premières journées d'école des enfants!
SupprimerExcuse moi je suis curieuse! En tous cas je ne me lasse pas de lire vos aventures! J'ai hâte que tu nous relates les premières journées d'école des enfants!
SupprimerExcuse moi je suis curieuse! En tous cas je ne me lasse pas de lire vos aventures! J'ai hâte que tu nous relates les premières journées d'école des enfants!
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